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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 08:24

traversée

 

 

 

 

Le 28 octobre 2010, les élus de "Changements et Progrès pour Marsannay" ont, sur la demande de monsieur le maire Jean-François Gondellier,  fait parvenir  à Monsieur Jean-François Sauvadet, Président du Conseil Général, un courrier qui lui présentait l'urgence de la sécurisation de la traversée de la route de Beaune pour les habitants de notre commune et de ceux de Perrigny.


Monsieur Jean Esmonin, notre Conseiller Général était également destinataire, en copie, de ce courrier.

 

Monsieur Jean Esmonin a bien voulu nous communiquer d'une part le courrier qu'il a adressé à Monsieur Sauvadet, Président du Conseil Général,

 

  ICI,  Courrier de Monsieur Jean Esmonin, Conseiller Général

 

puis la réponse que lui a apportée ce dernier.

 

  ICI, courrier de Monsieur Jean-François Sauvadet, Président du Conseil général

 

Monsieur le Maire de Marsannay a confirmé, lors du Conseil Municipal du 14 décembre 2010, que les services du Conseil Général, s'étaient déjà déplacés sur la commune afin d'étudier les solutions qu'il serait possible de mettre en oeuvre afin de régler ce dossier difficile.

 

Nous espérons que des réponses pourront être apportées rapidement.

La sécurisation de la traversée de la route de Beaune est un problème majeur pour les futurs habitants des deux communes pré-citées.

 

Les enfants qui demeureront à la Rente Logerot ou à Perrigny se rendront chaque jour à l'école primaire de la Champagne-Haute ou au collège Marcel Aymé....

 

Au nom de "Changements et Progrès pour Marsannay" nous adressons donc un grand merci à notre Conseiller Général pour son aide et son soutien dans ce dossier difficile.

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 02:11

Source : http://www.dexia-creditlocal.fr/collectivites-locales/expertise/communes/Documents/Indice_1erTrim2010%28oct2010%29.pdf

 


  panier2

 

Le « panier du Maire » est un indice spécifique qui mesure l’inflation constatée pour les collectivités locales. Son étude a été menée en partenariat entre l’AMF et Dexia Crédit Local.


 

Indice de prix des dépenses communales au premier trimestre 2010

 

indice6

 

 

 

 

Au premier trimestre 2010, on constate que l'augmentation de l'indice des dépenses communales est la même que l'augmentation de l'indice des prix à la consommation hors tabac : + 0,3 %.

 

Ceci est dû à la baisse des charges financières, des taux d'intérêts des emprunts.

 

Néanmoins, rappelons-nous bien cela :


"Au premier trimestre 2010, l’écart entre l’augmentation, sur les quatre derniers trimestres, de l’indice de prix des dépenses communales et l’inflation hors tabac disparait."

 

Au premier trimestre 2010, l'inflation touche de façon égale les communes et les ménages...

 

 

 

 

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5 novembre 2010 5 05 /11 /novembre /2010 07:49

dit-il en descendant le soir de la balayeuse municipale...

 

balai

balai2

 

balai3

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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 09:51

Le chauffage des bâtiments publics à Marsannay...

 

 

  MAISON2.jpg

 

 

Nombre de bâtiments communaux chauffés ?    17

 

Mairie - Centre technique municipal - Maison de Marsannay - Logement Maison de Marsannay - Maison des Sociétés - Maison du Patrimoine - Groupe scolaire Colnet - Groupe scolaire Langevin - Groupe scolaire Wallon - Espace Bachelard - Espace Wallon - Gymnase Georges Enselme - Vestiaire terrain stabilisé - Complexe sportif - Espace du Rocher - Foyer du Rocher - Local Crédit Mutuel.

 

 

 

Surface totale  de ces bâtiments ?

17 244 m² soit 3,27 m²/habitant.

(5 272 habitants)


Energies utlisées ?

  gaz domestique sauf le foyer du Rocher (Fuel domestique)


Montant annuel du contrat d'entretien des chaudières en 2009 ?

  environ 20 000 euros


  (sauf Local Crédit Mutuel)

 

Montant du Gaz consommé par la commune en 2009 ?

  187 076 euros


Montant du FOD consommé en 2009 ?

   3 600 euros

 

Montant total entretien et combustibles ?

  210 676 euros

 

Montant total dépensé par la commune par mètre carré ?

       12,20 euros

 

Montant dépensé pour une année par chaque habitant de la commune ?

    environ 40 euros par an 

 

 

 

   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 09:04

  bus2

 

Comme nous, vous devez maintenant avoir reçu le nouveau plan de circulation qui entrera en vigueur le 12 juillet 2010.

 

Comme nous, vous avez dû noter un changement important :

 

La ligne 15, qui, pour l'occasion deviendra la ligne 14, ne passera plus par la Route des Grands Crus, mais par la rue de la Maladière (afin de desservir, au plus prêt, la bien-aimée et toute neuve Résidence des Vignes-Marie), puis rue du Château et fera demi-tour à l'intersection de la rue du Charron...


C'est pas grave pour les arrêts de bus. Comme chaque maire a sa petite idée sur la question,  il y en a partout.. Certains servent, puis les autres, pas de jaloux !!! c'est pratique. 


C'est pas grave pour les écoliers. A leur âge, ils vont où on leur dit d'aller... et pour les adultes, là ou ailleurs ?


C'est pas grave pour les riverains de la rue du Château. Les camions de livraison qui bloquent parfois la rue feront attendre un peu les conducteurs de bus, mais bon, on verra bien !

 

C'est pas grave pour les personnes à mobilité réduite qui seront obligées de circuler sur la route, pour se rendre à l'arrêt de bus, puisque les trottoirs de cette rue du Château, comme toutes les autres de la commune, sont encombrés de nombreux véhicules qui stationnent sur les trottoirs.


J'ai peut-être oublié quelque chose puisqu'une pétition circule déjà dans ce quartier  ?

 



 

Question posée lors du conseil municipal du 29 mars 2010 :

 

 

Le Grand Dijon travaille actuellement sur la desserte de la commune par le réseau Divia pour les périodes rentrée 2011 - 2013 puis sur celle de 2013, lors de la mise en service du Tramway. Comptez-vous consulter la population sur ces projets et sur vos propositions de changements d’itinéraire ?

 

Réponse  :

 

"En ce qui concerne les modifications devant intervenir sur la commune, celles-ci ne sont pas suffisamment importantes pour lancer une grande campagne de consultation ou de contestation comme c’est le cas dans quelques communes de l’agglomération.

 

En ce qui nous concerne, la consultation de la population s’est déroulée en Mars 2008.

Nous assumons nos choix devant la population et celle-ci sait que nous sommes à son écoute sans avoir besoin de recevoir des leçons de quiconque.

 

A ce jour, nous attendons des informations de la part de Divia concernant la modification que nous souhaitons apporter en septembre 2010 et que nous avons évoqué ensemble afin de soulager le trafic des bus au bourg.

 

Nous prendrons nos responsabilités, nous avons été élus pour cela."

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 22:25

 

outils

 

 

Existe-il des outils juridiques qui permettent de tendre vers l’application ou le maintien des 20 % de logements à loyer modéré exigés par la loi SRU ?

 

La réponse est OUI.

 

Question, proposition posée à Monsieur le Maire, par notre liste, lors du conseil municipal du 29 mars 2010 :

 

-« L’article L 123-2 § d du code de l'urbanisme permet aux communes d’identifier dans leur PLU des secteurs à l’intérieur desquels lorsqu'un programme de logements se réalise, un pourcentage de ce programme (pas plus de 50 %) soit affecté à du logement locatif, notamment social. Cette obligation est opposable pour toutes constructions, y compris celles réalisées par un promoteur privé.

 

De petits programmes privés ont vu le jour sur la commune : villa Hugo, Jupille, rue du Rocher… pour lesquels vous avez octroyé un permis de construire sans contrepartie.

 

Etant donné le grave déficit de Marsannay en logements à loyers modérés, serait-il possible de procéder à une modification du PLU afin de définir sur la commune une obligation de ce type pour toutes les zones susceptibles d’accueillir un jour un programme de construction ? Cela aurait également pour effet de mieux répartir géographiquement ce type d’habitat sur la commune. »

 

Réponse embrouillée de Monsieur le Maire :

 

-« Encore faut-il que le coût de l’opération soit supportable par un bailleur social. Les opérations sont trop petites pour intéresser un bailleur social, je prendrai en exemple le programme que vous appelez Jupille. Aucun bailleur social n’a répondu à mes sollicitations. Je vous rappelle que les opérations privées apportent de nouveaux habitants et de nouvelles recettes fiscales. Nous ne pouvons pas imposer à un bailleur social d’intervenir s’il ne le souhaite pas. Concernant la rue de la Maladière, c’est 17 logements sur 43 qui sont concernés (39 %), c’est supportable pour un bailleur social. Si vous faites 12 villas à Hugo dont 6 par un bailleur social, ils ne seront pas d’accord. Il y a un nouveau Directeur à l’OPAC, allez le voir. Ils n’ont pas les moyens. D’ailleurs ni l’OPAC, ni le Foyer Dijonnais n’ont répondu pour l’opération projetée à Roupnel.Par ailleurs, ORVITIS a rencontré M. Jupille et ils sont venus me voir ensuite pour me dire qu’ils ne pouvaient pas réaliser cette opération, même avec un portage foncier par l’EPFL. Si l’opération Roupnel est possible, c’est parce que la Commune était propriétaire d’une partie du ténement foncier et qu’elle l’a mis, gratuitement, à disposition d’ORVITIS.

 

Nous pouvons faire ce que vous proposez mais si les bailleurs ne peuvent pas financer l’opération, cela ne sert à rien. La négociation au cas par cas est plus pertinente, nous pouvons constater aujourd’hui que la politique que nous menons est la bonne même si ce n’est pas celle que vous préconisez. Si vous connaissez des terrains qui pourraient répondre à notre objectif commun de produire des logements à loyer modéré, je suis preneur. »

 

OUI MAIS

 

Monsieur le Maire n’a pas précisé qu’un autre moyen peut être utilisé pour appliquer cette loi. 

 

Et pourtant lui et son prédécesseur l'ont utilisé ce moyen, rue de la Maladière, où le promoteur privé a construit 30 logements pour son propre compte et 17 logements vendus « en l’Etat Futur d’Achèvement »  à un office HLM, soit 36 % de logements à loyers modérés….

 

Et le promoteur y a bien trouvé son compte, sinon, cela se saurait !!!!!!! Cette pratique utilisée couramment dans les autres communes et pour de très petites opérations, ne serait pas, ou plus, adaptée à Marsannay ?  

 

Effectivement, 36 % est un quota qui peut être en effet un peu lourd pour une petite opération, alors que 20 à 30 % sont acceptables et doivent être imposés….

 

Vous avez donc bien, Monsieur le Maire les outils nécessaires pour ne pas laisser la situation de la commune empirer vis-à-vis des stipulations la loi SRU. Si vous aviez eu plus tôt le courage d’imposer cette politique : 

 

Les  5 logements à loyers modérés (20 %) générés par la construction des 26 logements privés des trois petites opérations ne seraient pas à ajouter à la charge de la commune. 


Ces logements correctement disséminés sur la commune, ne créeraient aucun clivage parmi la population… 


La pénalité financière réglée par les habitants de la commune au titre du déficit vis-à-vis de la loi SRU, serait maîtrisée. 

 

En ce qui concerne ces questions d'urbanisme, Monsieur le Maire, vous n'avez plus le droit de laisser la situation se dégrader sur notre commune....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 22:05

sud3                                        photo Cap Sud : 27 mars 2010.....


 

        Extrait du Bulletin municipal décembre 1983 :

 

« Les années 1960/1970 furent celles de la décentralisation et de la pleine expansion industrielle. Naquirent donc les zones industrielles dont le développement se fit, dans la très grande majorité des cas, à l’initiative de la collectivité publique.

 

Concevoir et réaliser une zone industrielle est un travail de longue haleine demandant des efforts très importants pour une rentabilité à longue échéance.

 

C’est ainsi que l’initiative privée prit le relais. Naissait donc, en 1971 l’AFUMA, Association Foncière Urbaine de MArsannay-la-côte, à l’initiative de quelques propriétaires fonciers qui surent réunir sans exception, les quelques 101 propriétaires de petites et grandes parcelles situées au sud de la RN 74.

 

Puis, les artisans, les commerçants et les industriels se multiplièrent. Ce fut la naissance de Cap-Sud. »

 

Extrait du bulletin n° 4, VEM, Campagne municipale  mars 1983

 

« L’importance de la zone Industrielle de Cap Sud pour l’emploi et les ressources de la commune, n’est nié par personne.

 

Mais dire que tout stagne actuellement par manque de dynamisme, n’est-ce pas travestir la réalité ? La quasi-totalité des terrains occupés, des entreprises qui supportent des impôts locaux moins élevés qu’ailleurs, voilà la réalité. »

 

Extrait du Bulletin municipal décembre 1983 :

 

Après des années d’existence et malgré les efforts des utilisateurs, Cap Sud n’est pas parfait.

 

Mais, depuis une année, des contacts fréquents avec la mairie, pour l’amélioration des espaces, des voies d’accès, permettent au commerce artisanal et commercial de Cap sud de maintenir et d’améliorer l’accès des clients et visiteurs de cette zone. »

 

Extrait du Bulletin municipal juin 1986.

 

« Aménagement d’un nouvel espace commercial, baptisé Acti Sud.

La percée qui va être prochainement réalisée depuis le carrefour Chenôve Longvic sur la rocade, donnera naissance  à une voie pénétrante qui desservira la zone existante en facilitant son accès.

 

 En outre, cette voierie nouvelle et spacieuse ouvrira  des perspectives nouvelles pour des implantations d’entreprises dynamisantes qui devraient engendrer des emplois et donner des moyens financiers accrus pour la commune. Ainsi donc, après cap Sud, nous aurons Acti Sud. »

 

Un mauvais calcul politique a donc permis la naissance de Cap Sud.

Celui de croire que l’initiative privée, que le libéralisme pouvait remplacer le contrôle de la puissance publique.

 

De ce fait, depuis 1971, Cap Sud ne s’est pas développé et présente aux personnes qui le traverse, comme aux jours de sa création, les friches, routes défoncées, tags, empilement de matériaux de toutes sortes, inondations en cas d’orage, qui donne une image désastreuse de notre commune.

 

Combien de fois ai-je entendu dire aux automobilistes :

 

« Tiens !! On vient de quitter Marsannay et on arrive sur Perrigny.

On est moins secoué !!! »

 

Malgré les prières des municipalités VEM qui se sont succédées, Cap Sud n’a pu se remettre de ce mauvais départ….

 

Mais ne serait-il pas temps maintenant de reprendre ce dossier, de classer les voies, en voies communales, de réhabiliter cette ZAC qui jouxte CORA ?

 

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 00:18




stationn

Combien d'erreurs a commis le conducteur de ce véhicule ?
Réponse en bas de page....

"Mais c'est pas grave, tout ça, on est bien à Marsannay, Non ?" Alors qui pourrait bien y trouver à redire ?????"


Réponse : 1 - stationnement sur un trottoir  2 - stationnement devant un  passage piéton  3 - stationnement devant un arrêt de bus.
...


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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 00:00
Saint Appolinaire :

Un article du Bien public du 26 février 2010 apprend aux Pataras ébahis que "le Grand Dijon a fait connaître aux communes les modifications des lignes du réseau Divia, devant intervenir dès septembre 2010 en prévision du tramway à l'horizon 2013."

A Saint-Appollinaire, cette réorganisation du réseau qui présente des points positifs, mais d'autres qui pénaliseront les habitants, (desserte et fréquence des bus) a, sur l'initiative de la municipalité, fait l'objet, depuis décembre 2009, d'une concertation ouverte, à l'aide de réunions de quartiers, de registres d'enquête...


La synthèse de réflexion des groupes de travail et de la consultation des habitants  va être transmise au Président du Grand Dijon.

Copie--2--de-jeannine01798.jpg
Marsannay-la-Côte :

Conseil municipal du 9 novembre 2009*

   Lancement du projet « Tramway :

Le 15 mai 2008, par délibération du Conseil de Communauté, les élus ont lancé la concertation préalable à la création de deux lignes de Transports en Commun en Site Propre, faisant suite aux études de faisabilité démarrées en 2006. Ce projet vise à créer les conditions d’une mobilité durable dans l’agglomération, une « écomobilité » qui permette à tous de se déplacer facilement, qui favorise la cohésion sociale et le développement économique, en contribuant à la protection de l’environnement. Du 2 Juin au 11 Juillet 2008, un vaste dispositif d’information et de concertation a été mis en œuvre.  L’approbation du projet et du tracé définitif a eu lieu lors du Conseil de communauté du 12 Novembre 2008. En 2013, deux lignes de tram desserviront le Grand Dijon.

 


Conseil municipal du 14 décembre 2009*

 

Transport DIVIA

 

Lors de notre dernier Conseil Municipal je vous avais informé que Divia nous avait remis il y a quelques temps un projet du futur réseau qui pourrait être opérationnel en 2013 ainsi que des modifications qui pourraient être apportées à celui-ci en septembre 2010.

 

Je vous informe que je vous présenterai ces projets lors d’une réunion début 2010.

 

Madame la Députée de notre circonscription va organiser une réunion de travail début 2010 avec les représentants du secteur économique pour analyser les propositions faites par Divia, dans le but d’améliorer la desserte des zones économiques. Je ne manquerai pas de vous informer de l’avancée de ce dossier que nous suivons de façon très attentive.

 


 

 

Une réunion d'information de l'ensemble des conseillers municipaux, au cours de laquelle ce point sera abordé aura lieu......lundi 1° mars au soir.....

 


* extraits relevés dans les procès-verbaux complets des Conseils municipaux publiés sur cyber-communes.

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 08:34

 dormez.jpg

 

Extrait du rapport de présentation de la Révision simplifiée du PLU visant à réduire l’espace boisé classé de la rue de la Boulotte.

 

 

« Un espace boisé de 2 113 m² couvre partiellement les parcelles 151 – 621 – 622 – 623 et 624 d’une propriété sise rue de la Boulotte.

 

On constate une incohérence entre l’étendue de la protection et celle des arbres établis dans cet îlot.

 

En effet, certaines surfaces ne présentent aucun caractère arboricole et ne peuvent vraisemblablement pas être plantées (constructions, cours, allées…)

 

En effet, les constructions et aménagements sont le plus souvent exclus du champ de la protection afin de laisser la possibilité à certaines évolutions du bâti.

 

La commune propose aujourd’hui d’ajuster les limites de la protection au boisement existant.

 

Le nouvel espace boisé classé couvre une surface de 1 475 m.

 

Il exclut la construction, la cour, les allées, soit 638 m² (29 m² pour la construction, 611 m² pour la cour et les allées.

 

Cette modification n’a aucun impact sur l’environnement dans la mesure où la réduction de l’espace boisé classé ne s’applique que sur les surfaces à caractère minéral. Les arbres et les plantations existantes sont toujours couverts par la protection. »

 

Effectivement, le plan annexé montre que l’espace classé de forme rectangulaire couvrait une partie du bâtiment et les cours… Le prochain tracé, en croix, libère les 4 coins de ce rectangle, où sont situés des bâtiments…. Le rapport de présentation précise qu’aucun arbre ne devrait être déclassé….

 

Néanmoins, beaucoup de questions restent posées :

 

Un PLU est un document qui engage autant la mairie que les propriétaires des espaces classés.

 

Le PLU de Marsannay-la-Côte a été réalisé par le cabinet Urbicand et les services de l’urbanisme du Grand Dijon sous, nous l’espérons,

le contrôle de la municipalité de l’ancien maire et de ses adjoints.

Or, selon les dires du maire actuel, à l’époque lorsqu’il était adjoint, on a déterminé les surfaces à protéger sur plan à l’échelle, sans se soucier de la réalité sur le terrain…

 

Est-ce sérieux ?

 

N’était-ce pas là une façon de procéder un peu légère, au vu des contraintes imposées ensuite ?

 

 Les propriétaires n’avaient-ils pas été avisés de ce classement ?

 

Pourquoi personne n’a pensé, à l’époque, à les a consulter pour établir des plans plus précis des zones à protéger ?

 

Pourquoi personne n’a pensé à leur dire qu’ils pouvaient contester ces surfaces lors de l’enquête publique, avant l’adoption du projet ?

 

Pourquoi, après tant d’années sans problème,  est-il maintenant si urgent de modifier ce zonage ?

 

Qui a demandé cette rectification et pourquoi ? ? ?

 

Si vous avez la réponse à toutes ces questions que se posent légitimement les habitants de Marsannay, donnez-les vite …..

 

 

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Un écrivain, une phrase...

"La démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité" Albert Camus

"Toute opinion est indifférente aux ambitieux, pourvu qu’ils gouvernent."
  Bernardin de Saint Pierre 1737-1814 

"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."
Etienne de La Boétie 1530 - 1563

"Si je diffère de toi, loin de te léser, je t'augmente."
Antoine de Saint Exupéry