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10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 08:03

 

Question n° 1

 

La construction de l’éco-quartier en Saint-Urbain, va supprimer des jardins familiaux. Vous en réintroduisez 5 000m² dans votre projet, mais nous supposons qu’ils seront en priorité réservés aux nouveaux habitants.

 

Allez-vous prévoir pour les anciens jardiniers qui le souhaitent, d’autres emplacements, et où ?

 

Réponse de Monsieur le Maire :


"Nous n’en sommes pas encore à traiter ce point. On ne peut pas négocier les 253 000 et puis les jardins familiaux. Nous verrons le moment venu avec les personnes concernées et notamment les anciens jardiniers bien entendu."

 

Oui, bien sûr ! Laissons les jardiniers s'investir dans leur parcelle donner de la peine, amender la terre... et au dernier moment on verra bien ce qu'on aura à leur proposer.... si on décide de leur proposer quelque chose !!

 

crédit mutuel

 

Question n° 2

 

En 2010, il existait 48 logements vacants, à titre provisoire pour beaucoup, sur la commune.

 

La commune de Marsannay-la-Côte possède 2 de ces logements.  (Le Crédit mutuel acheté il y a bientôt 2 ans (mars 2009) et la maison située au Centre technique où était logé l’ancien Directeur Général de la commune.

 

Par ailleurs, Marsannay ne possède pas son quota de logements à loyers modérés (184 sur 224,4 exigibles au 1° janvier 2009 soit 8,67 % au lieu des 20%  prévus par la loi SRU).

 

Pourriez-vous envisager de louer ces logements même à titre provisoire comme la loi vous y autorise ? Ou d’en faire des salles de réunion pour les associations puisque ces locaux sont chauffés ?

 

En cette période où le manque de logements se fait sentir sur l’ensemble du territoire, où sur Dijon des personnes sinistrées sont à reloger, même provisoirement, la commune ne donne pas le bon exemple aux propriétaires en laissant ces logements inoccupés.

 

"Il y a des paradoxes dans vos propositions. Si nous installons des associations, ils ne pourront être utilisés en logement."


Ou des logements ? précisent monsieur Bailly et madame Tisserandot.

 

"Votre remarque sur la mise à disposition de locaux aux associations montre votre non connaissance du monde associatif de notre commune. Sauf erreur de ma part, la commune répond correctement aux demandes de locaux pour réunions à toutes les associations de Marsannay.

 

En ce qui concerne le local du Crédit Mutuel, il est uniquement en hors gel en période hivernale donc non chauffé et le pavillon se situant dans l’enceinte du Centre Technique est voué à la démolition dans l’opération de l’écoquartier.

 

Les deux locaux que vous citez ne sont de toute façon pas habitables en l’état, même provisoirement ou en situation d'urgence. Une nouvelle fois, je ne peux que constater votre méconnaissance de la vie de notre commune.

 

Ce sont des questions qui nous ont été posées par des pataras constate madame Tisserandot.

Le maire poursuit : et bien vous leur répondrez."

 

Première remarque, la suggestion mise en avant était de louer ces bâtiments, à titre précaire et révocable, comme la loi le permet pour dépanner des personnes en attente d'un logement à loyer modéré.

 

 

Le crédit mutuel, entre autre, visité lors de son achat début 2009 par l'ensemble des élus, serait facilement aménageable, les dépenses de chauffages étant mises à la charge du locataire.

 

Mais Monsieur le Maire, comprenant le bien-fondé de cette question a préféré s'indigner de la deuxième suggestion qui lui permettait d'esquiver la première.

 

Car, à l'époque actuelle, quelle commune peut se permettre de garder complètement innocupées deux maisons, l'une depuis le départ du Directeur des Services monsieur Ducourant, depuis donc plus de 5 ans, et l'autre, l'ancien crédit mutuel du bourg, achetée sur un coup de tête début 2009 et dont chacun se demande encore à quoi elle pourra bien servir, les deux oppositions municipales ayant fait  nombre de propositions (toujours repoussées) à ce sujet  ? ...

 

Pas de connaissance du monde associatif local ? Dire cela à des pataras qui sont investis d'une façon ou d'une autre dans des associations depuis 40 ans pour certains d'entre eux !? Dans un temps où ce maire n'était qu'un petit garçon ! Quelle arrogance !

 

Dire cela à des gens qui galèrent pour avoir une salle lorsqu'ils programment une réunion...


Qui s'entendent trop souvent dire, par des employés désolés de ne pouvoir rendre service :


"Ah bien non, on n'a plus rien ce jour-là, ...Téléphonez donc à Bachelard, il y a la salle des associations, si ce n'est pas un jour où elle est retenue à l'année..."ou bien, choisissez un autre jour, ou la semaine suivante..."

 

Et bien sûr en conclusion de la réponse, la "phrase qui tue" **, la préférée de Monsieur le Maire assénée à l'un ou à l'autre, à un moment ou à un autre, lors de chaque conseil municipal :

 

"Une nouvelle fois, je ne peux que constater votre méconnaissance de la vie de notre commune."

 

Ben oui ... On est tous des imbéciles... On vit à Marsannay depuis si peu de temps qu'on n'en connait pas les habitants, le patrimoine, les points faibles, les problèmes... Qu'on ne sait pas lire entre les lignes des proclamations d'auto-satisfaction si souvent assénées....

 

Oui, Monsieur le Maire, vous avez raison d'embaucher un personnel pour soigner votre communication. Vous en avez grandement besoin....

 

 

** un concours est ouvert sur ce thème. Le gagnant sera le pataras qui aura relevé, depuis 2008, le plus de phrases de ce type dans les PV des conseils municipaux..."

 

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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 09:00

 

neige

 

 

Liste "Changements et Progrès pour Marsannay "

 

Questions écrites

 

Question n° 1

 

La construction de l’éco-quartier en Saint-Urbain, va supprimer des jardins familiaux. Vous en réintroduisez 5 000m² dans votre projet, mais nous supposons qu’ils seront en priorité réservés aux nouveaux habitants.

 

Allez-vous prévoir pour les anciens jardiniers qui le souhaitent, d’autres emplacements, et où ?

 

Question n° 2

 

En 2010 il existait 48 logements vacants, à titre provisoire pour beaucoup, sur la commune.

 

La commune de Marsannay-la-Côte possède 2 de ces logements.  (Le Crédit mutuel acheté il y a bientôt 2 ans (mars 2009) et la maison située au Centre technique où était logé l’ancien Directeur Général de la commune.

 

Par ailleurs, Marsannay ne possède pas son quota de logements à loyers modérés (184 sur 224,4 exigibles au 1° janvier 2009 soit 8,67 % au lieu des 20% prévus par la loi SRU).

 

Pourriez-vous envisager de louer ces logements même à titre provisoire comme la loi vous y autorise ? Ou d’en faire des salles de réunion pour les associations puisque ces locaux sont chauffés ?

 

En cette période où le manque de logements se fait sentir sur l’ensemble du territoire, où sur Dijon des personnes sinistrées sont à reloger, même provisoirement, la commune ne donne pas le bon exemple aux propriétaires en laissant ces logements inoccupés.

 

Question n° 3

 

Vous avez, Monsieur le Maire, décidé d’acheter des jumelles pour le contrôle de vitesse sur la commune.

 

La police municipale sera chargée de relever les infractions afin de sanctionner les contrevenants en application de l’article L. 2212-5 du code général des collectivités territoriales qui confie aux agents de police municipale la mission de constater par procès-verbal un certain nombre de contraventions au code de la route ou commises à l’occasion de la conduite d’un véhicule.

 

Par ailleurs, le code de procédure pénale prévoit que les amendes forfaitaires infligées en cas de contraventions peuvent être payées directement aux agents verbalisateurs.

 

Le Conseil d’État a posé récemment  le principe selon lequel, lorsque la loi confie aux agents de collectivités territoriales des missions à exercer au nom de l’Etat, elle entend indirectement mettre à la charge de ces collectivités  les dépenses nécessaires à l’exercice de ces missions.

 

Par suite, ces dépenses (avis de contraventions, cartes de paiement des amendes forfaitaires, quittances délivrées lors des paiements immédiats) doivent être supportées par la commune et non par l’État.

 

 

Pourriez-vous, Monsieur le Maire nous établir tous les ans le relevé :

 

-          du nombre de contraventions et la gravité des infractions constatées.

 

-          du budget relatif à l’exercice de ces compétences, afin de pouvoir déterminer le coût exact de cette nouvelle mission et son opportunité budgétaire.

 

Question n° 4

 

L’arrêté du 12 novembre 2010 qui fixe les critères de classement des offices de tourisme vient d’être publié.  Les dispositions de cet arrêté entreront en vigueur le 1° janvier 2014.

 

Certaines de ces dispositions vont être très contraignantes pour la commune, en particulier l’obligation de disposer d’accès et de locaux disponibles à tous les touristes, même handicapés, et l’obligation d’un service bilingue.

 

Une réflexion est-elle entamée pour être prêt à la date d’entrée en vigueur de cet arrêté ?

 

Question n° 5

 

La commune envisage-t-elle de participer, même symboliquement, à l’aide qui doit être apportée aux victimes du sinistre ADOMA ?

 

Question n° 6

 

Où en est le dossier de la traversée de la route de Beaune ?

 

Question n° 7

 

La Banque alimentaire est installée dans un local exigu. La distribution de produits congelés a nécessité l’achat de réfrigérateurs/congélateurs et de containers isothermes qui stockés dans ce même local, réduisent l’espace dans lequel les personnes chargées de distribuer les produits alimentaires doivent travailler.

Les bénéficiaires doivent suivre la file d’attente, rester dehors, dans le froid, sous la pluie ou la neige, pour pouvoir retirer les provisions distribuées.

Cette situation n’est pas tolérable par les froids actuels. Elle est contraire à la dignité des personnes accueillies et donne une piètre image de la solidarité dans notre commune.

Nous vous demandons de régler rapidement cette situation, soit en accordant le local proche qui sert actuellement à stocker le matériel d’une association sportive, soit en déplaçant le lieu de distribution

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 09:11

Question N° 5

 

Avez-vous prévu de faire un bilan de l’action des ambassadeurs de quartier ?

 

Réponse de Monsieur le Maire :

 

Vous avez déjà posé la question et la réponse est la même. Nous sommes à l’écoute des ambassadeurs comme eux le sont auprès de la population. Nous faisons le point avec eux en les réunissant en fin d’année, ce qui sera encore le cas cette année.

 

Ils nous transmettent régulièrement des informations que nous traitons afin qu’ils puissent répondre directement aux personnes les ayant interpellés.

 

Au fait, qui se souvient du nom des ambassseurs de quartier ?

 

Le bilan est permanent car notre priorité est de répondre dans les meilleurs délais et non de faire de grandes réunions médiatiques.

 

Question N° 6

 

Conformément à votre programme de campagne électorale, vous avez organisé, en 2009, des réunions pour les jeunes de 14/17 ans et de 18/25 ans afin de leur demander quels seraient leurs souhaits,  leurs besoins, leurs suggestions.

 

Il est vrai que, malgré des invitations personnelles, la participation à ces rencontres a été très faible. Où en est-on aujourd’hui ? Souhaitez-vous renouveler cette expérience ?

 

Réponse de Monsieur le Maire :


Juste un petit rappel :

 

30 juin 2008

311 jeunes de 14 à 17 ans invités – 16 coupons réponses retournés – une trentaine de présents – 5 ateliers – Plusieurs idées émergent : skate park – piste de BMX – city stade – terrains de jeux – site internet communal – création d’une journée culturo-festive pour les jeunes, etc….

 

 

3 avril 2009

Réunion en mairie avec un groupe d’une vingtaine de jeunes pour évoquer la création d’un city stade. En fait, ces jeunes sont venus pour la création d’une piste de BMX que nous ne sommes pas en mesure de réaliser pour l’instant.

 

6 mai 2009

650 jeunes de 18 à 25 ans invités – 15 présents.

Terrain multisports (city stade) – sécurité sur la commune – logement des jeunes – utilisation des terrains sportifs – espace de jeux pour les jeunes enfants – espace BMX.

 

Réponses aux demandes exprimées :

 

Terrain multisports : un temps envisagés, devant le collège et à coté du Centre MLK, le lieu est abandonné devant les réticences avancées et à la demande même des jeunes. La proposition du site de la Maison de Marsannay est retenue. Il sera réalisé dans le cadre du Ludomaine. Une somme de 40.000 € a été inscrite dans 2 budgets primitifs.  Non fait à ce jour

 

Sécurité sur la commune : Une réponse a été apportée par l’augmentation du volume horaire de la Prévention de Rue.  ???

 

Utilisation des espaces sportifs : ouverture ponctuelle par l’animateur Interventions de Rue. Aménagement de pare ballons au terrain Wallon.

Espace BMX : cette demande émane d’un nombre restreint de jeunes et ne semblent pas faire l’unanimité de tous.

 

Terrain de jeux pour les jeunes enfants : Il s’agit du terrain CHAMPY que vous connaissez bien, tout le monde est d’accord pour mettre à disposition des jeunes un terrain mais ils ne le veulent pas devant chez eux. Nous retrouvons cette position dans d’autres dossiers.

 

De plus, un mail a été adressé par Jean RENARD le 25 juin 2009 à plusieurs jeunes qui avaient laissé leurs coordonnées pour leur donner les infos sur le city stade.

 

Tous les jeunes qui ont demandés des logements sur la commune en locatif  les ont obtenus.

 

D’une manière générale, nous reprendrons les rencontres avec les jeunes un peu plus tard. Je ne pense pas que des réunions annuelles systématiques soient désormais nécessaires. Une nouvelle forme de contact est envisagée sur des thèmes précis en fonction des centres d’intérêts.

 

D’autre part, nous avons des contacts réguliers avec les jeunes dans le cadre associatif, dans les centres de loisirs pré-ados et ados ainsi qu’à l’Espace Jeunes, via l’équipe d’encadrement.

 

Il ne faut pas oublier la journée Expression Jeunes qui se déroulera le samedi 6 novembre à la Maison de Marsannay-la-Côte et qui est une grande réussite.

 

Bref, amis pataras, vous le constatez tous les jours, tout est parfait dans le meilleur des mondes...

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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 09:38

erhet

 

 

 

Question N° 4 :  

 

De nouveaux permis de construire ont été accordé, rue de la Maladière. Les nouveaux logements privés, rue des Vignes, rue du Rocher, sont terminés ou presque terminés. Le permis de construire du lotissement Erhet ou Roupnel sera bientôt accordé après les deux mois légaux d’affichage. Les logements Hugo sont en phase de finition.

 

Pouvez-vous :

 - Faire le point sur le nombre de logements existants à Marsannay, par catégorie : accession à la propriété, locatifs privés, locatifs répondant à la loi SRU.

- Donner le nombre définitif de logements qui seront construits rue Eiffel.

- Donner le nombre de logements HLM par bailleur social.

 

Réponse de monsieur le maire :

 

Il vous est toujours possible de venir consulter les documents du dernier recensement au Service Administration Générale.

 

Quelques chiffres :

 

Source Recensement population 2006 :

 

Catégorie :

Nombre total de logements : 2 170.

Nombre de résidences principales : 2 111

Résidences secondaires et logements occasionnels : 11

Logements vacants : 48

qui ne sont pas forcément des logements vacants à titre perpétuel mais à un instant T.

 

Type d’habitat :

Maisons : 1926, il faudrait arrêter d’en faire.

Appartements : 229

Autres : 15, je ne sais pas ce que c’est

 

Statut d’occupation :

Propriétaires : 1 794

Locataires : 287

Autres : 136 (logés gratuitement…) les logés gratuitement sont des jeunes qui habitent chez leurs parents et qui ne payent pas de loyer.

 

Locatifs répondant à la loi SRU :

 

204 au 1er Janvier 2010 (source inventaire des logements locatifs sociaux – Préfecture – DDT)


On va voir le Préfet bientôt à ce sujet pour les pénalités..


 OPAC : 15

ORVITIS : 167

VILLEO (Foyer Dijonnais) : 1

SCIC Habitat : 21

 

En ce qui concerne le nombre de logements Rue Eiffel, rien n’est arrêté pour le moment tant que la sécurisation du Rond Point Novotel n’est pas réalisé. Je me demande en quoi cela vous intéresse puisque vous ne soutenez pas ce projet.


Madame Tisserandot : On a émis de « fortes réserves » on n’a pas dit qu’on ne soutenait pas. A chaque fois vous vous trompez monsieur le maire.

Monsieur Gondellier : Soit on est pour, soit on est contre.

Monsieur Sirandré : On peut demander des aménagements tout de même.

Monsieur Gondellier : au fait je n’ai pas vu copie de votre courrier au Président du Conseil général pour lui demander la sécurisation de la traversée près  de Novotel avec un appui fort de notre conseiller Général.

Je dois rencontrer prochainement le Directeur d’Orvitis pour évoquer ce projet.

 

 

Commentaires :

 

Comment comparer des chiffres de 2006 avec d'autres de 2010 ? Comment trouver le nombre de logements manquants ?


Monsieur le Maire est fort aimable de nous donner les chiffres du recensement de 2006 alors qu'il en a de plus récents, très faciles à retrouver et à consulter ...

 

C'est d'ailleurs ce que nous avons fait, suite à cette réponse sybilline.

 

Et là, nous pouvons vous dire, car ce n'est pas un secret, que  Monsieur le Préfet de la Côte d'or a indiqué sur son relevé des indemnités que la commune devait régler en 2010 au titre de la loi SRU, qu'au 1° janvier 2009, il existait  :

 

Nombre de résidences principales :                                                  2 122

Nombre de logements locatifs sociaux  :                                            184   soit 8,67 %

Nombre de logements locatifs sociaux stipulé par la loi SRU  :    424,4

Nombre de logements locatifs sociaux manquants :                       240


Au moins, ces chiffres sont cohérents..... entre eux et avec celui donné par Monsieur le Maire : en 2010, 204 logements répondrait à la loi SRU, ce qui n'est pas étonnant avec les 17 logements locatifs  maintenant livrés rue de la Maladière.

 

Par contre du fait même de la rue de la Maladière, le nombre des résidences principales sont en augmentation et conséquemment le nombre de logements sociaux manquants ne doit pas avoir beaucoup diminué....


Bien sûr, avec vous, nous suivrons ce dossier avec intérêt.......

 

 

 

Par ailleurs, nous remarquons aussi que le principal bailleur social qui gère les logements locatifs à Marsannay est ORVITIS (167/204) ...


Quand on sait que les bailleurs sociaux ont eux aussi un public privilégié : familles nombreuses, retraités  ou jeunes ou familles mono-parentales on peut se demander si une répartition moins sélective ne serait pas plus appropriée...


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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 08:49

cm1_.jpg

 

Question N° 1 :


Où en est le projet de marché d’études d’œuvre pour la restructuration de la mairie ?

         On a eu  la réponse, puisqu’on a vu que la consultation est lancée, mais on voulait savoir si c’est toujours  la société EDIFICES qui s’en occupe.   Restructuration de l'Hôtel de ville (épisode n° 5)


        Réponse de Monsieur le Maire :


"La consultation pour trouver un accompagnement à la Maîtrise d’Œuvre pour ce projet a été lancée le 19 Octobre 2010 et se terminera le 10 novembre 2010. Edifice pourra peut-être postuler, mais nous n’avons plus de contrat avec cette Société. Nous n’avons plus de contrat avec EDIFICES."

 

Heureusement ! Après deux consultations abandonnées car non conformes au code des marchés publics, monsieur le Maire a décidé de rompre avec cette société.... Combien nous a coûté cet intermède ?

 

 

Question N° 3 :


Suite aux incidents qui ont eu lieu ces derniers temps (essai d’enflammer les poubelles de Bachelard, tags divers, incidents assez graves rue Alosyus Bertrand…) ne serait-il pas possible d’augmenter les moyens des éducateurs de rue, qui font, auprès de nos jeunes un travail remarquable ?

Les conseils habituellement donnés d’implication des riverains ne peuvent plus suffire.

 

Réponse de monsieur le maire :

 

Une nouvelle fois, vous nous suggérez d’augmenter la masse salariale de la commune en augmentant les moyens humains affectés au service prévention de la commune.

 

Là, une fois de plus, Monsieur le Maire énonce une contre-vérité :

Dans le DOB, la liste "Changements et progrès pour Marsannay" a dit :


"Il est évident que les dépenses de personnel de la commune, qui représentent environ 60 % des dépenses de fonctionnement, sont trop élevées, même si elles comprennent les émoluments des indispensables agents des services sociaux. Il est effectivement grand temps de penser aux redéploiements des fonctions, en accord avec les personnels concernés par ces changements et sans les pénaliser"

 

Mais laissons à monsieur le Maire le bénéfice du doute, il avait certainement mal compris !!!!!


Monsieur Sirandré : dans notre programme, il y avait la création d’un 3° policier  municipal.


Monsieur Gondellier ; Ce n’est pas ce que disait votre collègue qui  veut augmenter la masse salariale


Monsieur Sirandré : non, c’est un changement d’affectation...

Monsieur Gondellier : peu importe…

 

Monsieur le Maire ne laisse pas le débat s'installer...

Il énonce des contre-vérités (voir plus haut) et ne laisse pas ceux qu'ils critiquent s'exprimer !!!


 Nous pensons que ce n’est pas en augmentant les moyens que nous règlerons les problèmes rencontrés.

 

En effet, lors des incidents qui se déroulés rue Alosyus Bertrand, l’ensemble des moyens de prévention et répression étaient sur place à savoir notre service prévention, la Police Municipale et la Gendarmerie. Ces incidents sont regrettables mais ne sont pas liés à un manque de moyens de notre service prévention. Je n’en dirai pas plus sur ces incidents car une enquête de gendarmerie est en cours.

 

Je conclurai mes propos en reprenant le commentaire de notre service prévention concernant le comportement de certains jeunes :

 

« Encore une fois, le partage de l’information entre les surveillants du collège en interne, la Police Municipale et la prévention a été efficace dans la mise en place d’une véritable mission de prévention, chaque partenaire à son niveau peut aider l’autre dans sa démarche préventive »

 

Il est certain que cette concertation ne peut qu'être bénéfique pour tous, jeunes et intervenants.

Mais elle n'a pas l'air suffisante...faute de moyens ?


Je tiens également à préciser que ce service est entièrement à la charge de la commune, nous ne bénéficions d’aucune subvention ce qui n’est pas le cas des communes qui bénéficient du service des correspondants de nuit, car nous sommes une commune riche. L’observatoire de l’habitat place notre commune dans cette zone Mais ce n’est pas les éducateurs de rue qui iront éduquer les parents.

 

Marsannay est une commune riche !

 

Oui Monsieur le maire...


N'empêche que je ne sais ce qu'en pense les pataras qui appartiennent aux 23 % de foyers fiscaux dont le revenu fiscal est inférieur à 13 500 euros par an, soit 1 125 euros par mois et qui ont été recencés en 2008 dans notre commune....


(derniers chiffres communiqués par les services des impôts) 

 

 



 

 


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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 08:18

 

Question N° 2 :


"Un habitant de Marsannay s’étonne que la rue DARDELIN, qui est une voie privée, ait été rénovée avec l’argent de la municipalité c’est à dire de l’argent public.  Cette rue, qui n’est pas classée dans le domaine public comme tant d’autres situées dans les trois quartiers de Marsannay,  sert au passage de tous les usagers.

 

Les termes de la loi Grenelle 2 du 12 juillet 2010, validé par une décision du 6 octobre 2010 du Conseil Constitutionnel, disposent que "la propriété des voies privées ouvertes à la circulation publique dans des ensembles d'habitations peut, après enquête publique, être transférée d'office sans indemnité dans le domaine public de la commune sur le territoire de laquelle ces voies sont situées (…) ".

 

Comptez-vous régulariser rapidement, par une seule et unique procédure, le classement de voies qui sont utilisées journellement par les habitants de la commune, comme par exemple la rue des Géraniums, la rue du Puits de Têt et l’ensemble des rues de Cap Sud ?"


             Réponse de Monsieur le maire :


"Sauf erreur de ma part, vous avez posé la question à plusieurs reprises en commission Travaux et notamment lors de la dernière qui s’est tenue le 13 Octobre. Philippe GUYARD vous a répondu que le travail était en cours et que ce n’était pas chose facile et rapide à réaliser.

 

Comme vous le précisez, la décision du Conseil Constitutionnel date du 6 octobre dernier et nous ne sommes que le 25 octobre. Vous me reprochez d’aller trop vite pour l’écoquartier en 2 mois et vous voudriez qu’en 19 jours …  Nous ne manquerons pas d’utiliser cette possibilité si elle peut nous aider dans nos différentes démarches.

 

A ce jour, 26 rues ou impasses de la Commune appartiennent encore à des copropriétaires, notamment dans le secteur d’activités économiques, mais quelques unes aussi au Bourg ou à la Champagne Haute

 

Depuis la date de la dernière délibération du Conseil Municipal (15 Juin 2009) actant le classement dans le domaine public des voiries communales pour 22 941 ml, nous avons repris l’Impasse du Guidon (acte notarié du 22 Avril 2010). Par ailleurs, le Conseil d’aujourd’hui m’a autorisé à signer un acte pour reprendre la totalité de la rue Louis Lumière.

 

De plus, deux voies sont en cours de reprise : l’allée du Clos des Portes et la rue de la Côte Fleurie. Cependant ces reprises nécessitent de mener des enquêtes publiques car les copropriétaires ne sont pas tous connus. Le Grand Dijon a été sollicité pour ces procédures, celui-ci nous a donné une réponse positive mais son planning étant très chargé, nous devons attendre sa disponibilité. Un programme de reprise est établi duquel il ressort qu’il nous restera, après ces opérations, 22 rues ou impasse à reprendre, mais il faut savoir que certains copropriétaires refusent cette reprise. La DUP globale est, en effet, un moyen de le faire lorsque le nombre de reprises est important. Pour le moment, nous intervenons à l’amiable chaque fois que cela est possible.

 

J’illustrerai mes propos par la situation particulière de l’Allée des Cras, certains riverains prétendent que cette allée est privée et d’autres qu’elle fait partie du domaine public. Ce dossier est actuellement au Tribunal Administratif de Dijon qui devra statuer. Nous attendons sa position avec un certain intérêt."

 

Madame Tisserandot : "Là avec la décision du conseil constitutionnel….."

 

 Monsieur Gondellier : "Oui mais attendez, toutes les lois…

c'est comme la loi SRU…"


 

Effectivement, nous avons déjà parlé de ce dossier et nous en reparlerons, tant qu'il ne sera pas réglé. La récente décision du Conseil Constitutionnel permet à monsieur le maire de régulariser ce dossier pour toutes les voies privées hors zone économique.


Qu'on ne vienne pas nous dire qu'une enquête publique est un obstacle insurmontable !!! Monsieur le maire sait les lancer lorsqu'il veut faire avancer ses dossiers dits "prioritaires"...

 

Bien sûr, les propriétaires qui veulent conserver voie ou impasse et l'entretenir,  peuvent toujours interdire l'accès de leur voie privée, par exemple en posant une borne ou une chaîne à l'entrée ce qui interdira à la commune tout transfert de propriété... Et s'ils sont plusieurs propriétaires d'avis différents, le cas échéant, c'est à eux de prendre leur décision en faisant jouer leur règlement de copropriété ou autre acte, ou délibérations de groupements officiels....

 

Mais dans le cas de la rue des Géraniums ou de la rue du Puits de Têt, par exemple, il n'est pas pensable de voir un tel problème se poser alors que nul riverain ne se doute que c'est à lui d'entretenir une voie ouverte à tous depuis 50 ans au moins !

 

 

Quant aux rues privées de la zone économique, même si les habitants de Marsannay les utilisent quotidiennement, même si elles sont fort dégradées,

soit les riverains  propriétaires les cèdent à la commune qui les entretient, soit ce sont eux qui s'en chargent... quitte à voir les acheteurs déserter leurs établissements s'ils omettent de le faire...

 

A notre avis, la première solution est de beaucoup préférable pour eux....et il ne devrait guère y avoir d'opposition à une régularisation !

 

 

L' "habitant de Marsannay" qui a soulevé ce problème, a bien raison :


Les voies privées n'ont pas à être refaites avec de l'argent public.

 

Les voies privées n'ont pas à servir de voie de desserte pour la population... En effet, qui est responsable d'un accident qui intervient sur une voie privée dangereuse par défaut d'entretien ? Contre qui se retournera la victime ?

 

 

sud5

 

Il est donc de l'intérêt de tous, particuliers propriétaires, usagers et municipalité que ce manque de rigueur, que cette mauvaise gestion, soient rectifiés rapidement....


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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 08:36

sud5

 

 

Ainsi donc, les temps sont révolus au cours desquels on pouvait parler des résultats de l’année précédente, des projets de maintien du patrimoine ou d’aide à apporter à la vie locale, et concomitamment à cet examen, déterminer l’augmentation des taux des taxes locales les plus justes, les plus raisonnables possible.

 

Comme nous l’avions dénoncé l’an passé, les évolutions des taux d’imposition sont devenues une variable d’ajustement puisque les décisions de dépenses d’investissement, prises lors du budget primitif, 3 MOIS AVANT l’examen des taux, et peut-être plus cette année, devront, en tout état de cause, être équilibrées en recette.

 

Or, comme vous, chacun sait que cette période, marquée entre autre par la suppression de la taxe professionnelle, par la décision de l’Etat de recourir à la rigueur nécessaire pour rétablir des finances publiques qu’il a largement contribué à dégrader, est incertaine du point de vue du montant des dotations et crédits alloués à notre commune et que de ce fait il n’est pas possible, avant février ou mars d’avoir une prévision suffisamment fine des recettes attendues.

 

Est-il donc raisonnable, de nous précipiter à ce point, alors que vous dites vous-même, dans votre DOB, que « vous vous interrogez sur le financement des collectivités locales », que « nous risquons de voir encore cette année notre dotation baisser » ?

 

Au contraire, Monsieur le Maire, la plus grande prudence s’impose si vous ne voulez pas faire porter à vos administrés une charge dont vous ne pouvez mesurer l’ampleur à l’heure actuelle.

 

Pour Marsannay, comme ailleurs, on peut noter, en plus de l’augmentation régulière des  contributions directes qui composent déjà, pour 42 % les recettes de fonctionnement :

 

-         la stagnation, voire la diminution prévisible des compensations versées par l’Etat…

-         La stagnation, dans le meilleur des cas des dotations du Grand Dijon, (lui aussi confronté aux difficultés financières crées par la suppression de la taxe professionnelle) et qui représente plus de 30 % des recettes de fonctionnement.

-         Un montant des droits de mutation qui reste fragile.

-         Un remboursement de FCTVA qui s’il était doublé pour l’année précédente ne sera versé cette fois-ci que sur les dépenses de l’année 2010.

 

Bien sur, vous avez réalisé ces deux dernières années des sommes conséquentes grâce à la vente de terrains (825 000 euros HT en 2010), mais ces sommes seront aussitôt investies dans la restructuration de la mairie, pour des travaux prévus sur 2 ans… Est-il judicieux, dans le contexte actuel, de poursuivre la vente de terrains qui forment le patrimoine de la commune? L’avenir nous le dira… et de toute façon cet expédient ne durera plus longtemps… les terrains à négocier se font rares à acti-sud….

 

Nous comprenons bien, Monsieur le Maire, que le bouleversement du calendrier budgétaire de la commune, dont vous êtes à l’origine, vous permet d’étaler les annonces, les décisions de dépenses, et celles de recettes des taxes locales, donc les réactions de vos administrés.

 

Vous savez pourtant :

 

- que le nombre de chômeurs stagne à son niveau le plus haut, même si vous dites que cette tendance « est à la baisse », ce qui s’avère inexact, puisque en août, les derniers chiffres communiqués repartaient à la hausse.  

 

- que les frais médicaux sont de moins en moins bien remboursés, que les loyers, le prix de l’énergie - gaz, électricité fuel - augmentent régulièrement, que le prix des carburants ne tardera pas à faire de même, que les tarifs des assurances, des mutuelles explosent, que les prestations versées aux plus faibles diminuent…

 

Vous savez et vous le dites, l’économie française va être durablement freinée par la faiblesse de son principal vecteur de croissance, à savoir la consommation. Vous savez que les ménages les moins touchés vont continuer à souffrir de faibles créations d’emplois, de la modération salariale et d’un moral déprimé.

 

Nous avons été étonnés de constater que cette année, monsieur le Maire, dans votre présentation, vous avez omis de nous parler du traditionnel alibi pour justifier l’augmentation des taux des taxes, c’est-à dire du fameux « panier de la ménagère » soit de l’indice des prix hors tabac habituellement supérieur au « panier du maire ». C’est sûrement parce que, pour la première fois, ces deux paniers sont équilibrés et que les dépenses communales n’ont pas augmenté plus vite que l’inflation subie par les ménages…

 

Bien sûr, nous saluons votre détermination à réduire les dépenses de fonctionnement, puisque, en 2009, elles s’élevaient à 1 065 euros par habitant contre 946 pour les communes de même strate. Cette décision n’est pas originale… Aujourd’hui, quelle municipalité n’en est pas là ?

 

 Il est évident que Marsannay est doté d’un nombre important, trop important peut-être, mais en tout cas à la limite du supportable, de bâtiments publics, qui sont sources de dépenses énergétiques, de gardiennage, d’entretien….

 

Il est évident que les dépenses de personnel de la commune, qui représentent environ 60 % des dépenses de fonctionnement, sont trop élevées, même si elles comprennent les émoluments des indispensables agents des services sociaux. Il est effectivement grand temps de penser aux redéploiements des fonctions, en accord avec les personnels concernés par ces changements et sans les pénaliser.

 

Nous rappellerons ici que l’encours de la dette par habitant était encore, pour 2009, de 1 116 euros par habitant contre 882 euros pour les communes de même strate ….. Nous saluons par ailleurs la baisse des taux d’intérêt qui tombe à un moment crucial pour la commune….

 

Il est normal, eu égard au poids de la dette, que la capacité d’autofinancement reste faible, de 139 euros par habitants contre 163 euros pour les communes de même strate… et que la capacité d’autofinancement nette d’emprunt tombe à 48 euros par habitant contre 82 euros (presque le double) pour les communes de même strate.

 

Conséquemment, vous avez été obligé d’emprunter 335 000 euros,  alors que vous remboursiez, dans le même laps de temps, 485 000 euros de capital de la dette.  Ce dernier s’élevait donc à 5 982 000 euros fin 2009 au lieu de 6 132 000 euros fin 2008….. 150 000 euros remboursés en une année, c’est peu. Il est donc, à notre avis, prématuré de parler de la charge de la dette pour 2011…

 

Vous affirmez, Monsieur le Maire, que, quel que soit le montant des ressources communales, il faut investir et faire travailler les entreprises, afin de relancer leur activité et donc l’économie dans son ensemble. Mais là aussi, un équilibre doit être trouvé.

 

S’il est impensable de ne pas soutenir l’activité de ce pays, source d’emploi pour les salariés, source de richesses pour un Etat qui doit rembourser une dette qu’il a multipliée à l’envie, s’il est nécessaire et même obligatoire d’entretenir et d’investir dans le domaine communal, faut-il risquer de précipiter des citoyens dans l’embarras par une hausse inconsidérée des investissements donc des taxes nécessaires au règlement des travaux importants que vous avez programmés et qui ne sont pas tous indispensables ?

 

Nous ne pouvons accepter que vous décidiez seuls avec votre majorité, sans avis de l’opposition donc de l’ensemble des conseillers élus à cette assemblée, souvent sans même les informer, ou à la dernière minute lorsque tout est défini, des priorités d’investissement et de leur importance.

 

Nous vous rappelons une fois de plus, l’état des routes, les parkings à créer pour améliorer circulation, stationnement dans la commune, vie quotidienne dans notre cité.

 

Nous vous demandons une nouvelle fois, qu’en ce qui concerne  les investissements les plus lourds, une autorisation de programme, telle qu’elle est prévue par l’article L 2311-3 du CGCT modifié par le décret n° 97-175 du 20/02/1997, indiquant la limite supérieure des dépenses qui peuvent être engagées, la répartition annuelle envisagée des crédits de paiement et des ressources destinées à y faire face soit mise en place. Cette répartition étant susceptible de révision.

 

Nous vous demandons également de porter à un rang prioritaire dans l’échelle de vos préoccupations le devoir d’entraide et de solidarité avec les plus éprouvés de vos administrés.

 

Nous vous demandons de rétablir en ces années difficiles l’ancien calendrier budgétaire, qui avait le mérite de ne programmer les dépenses non obligatoires qu’en fonction des recettes certaines.

 

Nous vous demandons d’arrêter d’hypothéquer l’avenir avec des conventions comme celle que vous êtes en train de conclure, avec des consultations de maîtrise d’œuvre qui vous lient les mains financièrement pour des années à venir, puisque, de dépenses facultatives, ces dépenses deviendront obligatoires.

 

En conclusion, Monsieur le Maire, nous attendons avec impatience et curiosité de consulter le mois prochain, le budget prévisionnel 2011, qui ne peut être qu’un montage subjectif et purement théorique.

 

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 08:54

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TRANSFERT DE DOMANIALITE, DU CONSEIL GENERAL, A LA COMMUNE, D’UNE PARTIE DE LA RD 974 – Rapporteur Jean-François GONDELLIER


De nombreuses voies urbaines à l’intérieur du réseau de rocades de l’agglomération dijonnaise font partie du domaine public routier départemental.

 

Ces voies n’assurent plus de liaison routière d’intérêt départemental. De nombreuses contraintes urbaines s’imposent (pouvoir de police des Maires, orientations du Plan de Déplacements Urbain, réalisation du futur tramway), montrant que les enjeux communaux sont devenus prépondérants dans la gestion ou l’aménagement de ces voies.


En conséquence, le Conseil Général de la Côte-d'Or a souhaité que la gestion de ces voies soit confiée aux communes par un transfert de domanialité accompagné d’une compensation financière leur permettant de supporter les charges nouvelles en résultant. Le Conseil Général de la Côte-d'Or a prévu à cet effet une enveloppe financière globale qui sera répartie entre les communes concernées.


La répartition financière de l’enveloppe globale de 7,2 M€, liée au transfert des routes départementales non empruntées par le réseau du tramway, s’effectue entre les communes selon le linéaire de voies, pour bien distinguer les types de chaussée. Lorsque l’axe de la chaussée constitue une limite communale, chaque voie est transférée à la commune concernée.


Sur le territoire de la commune de MARSANNAY-LA-CÔTE, le linéaire à transférer est de 69 mètres de routes départementales représentant 414 mètres de voies.


Conformément à l’article L.131-4 du Code de la Voirie Routière, le présent rapport a pour objet de soumettre à votre approbation :


- le transfert de domanialité, par le Département, des sections de routes départementales situées sur le territoire de la commune de MARSANNAY-LA-CÔTE, représentant un linéaire de 414 mètres de voies,


- la convention ayant pour objet de préciser les modalités techniques et financières de ce transfert de domanialité qui donnera lieu au versement à la commune de MARSANNAY-LA-CÔTE, d’une compensation financière d’un montant de 28 283 € au premier trimestre de l’année 2012.


Le transfert de domanialité sera effectif au 1er janvier 2012.
Une convention précisera les modalités techniques et financières de ce transfert de domanialité.


 
Monsieur Gondellier : Quand il y aura des travaux, ils seront à notre charge, en compensation le conseil général nous donnera 28 283 euros à partir du 1° janvier 2012 car comme pour le moment ils ont des petits soucis financiers, ils demandent de leur faire crédit jusqu’au 1° janvier 2012.


Madame Tisserandot signale que, lors de la dernière réunion de la Commission Travaux, Monsieur Guyard a précisé que le coût supporté par la Commune lors d’une éventuelle réfection s’élèverait à 300 000 €. On avait calculé qu’il fallait recevoir la subvention pendant onze ans pour pouvoir régler cette réfection. La commune de toute façon en sera de sa poche, donc on préfère s’abstenir sur ce dossier.


Monsieur le maire : La commune en sera de sa poche, comme Chenôve comme…


Madame Tisserandot : Ils font ce qu’ils veulent, mais nous aussi.


Monsieur Gondellier précise que c’est dans le contrat d’agglo qui a été signé entre le Département et l’agglo pour remettre toutes les voiries départementales dans un cercle aux communes et la ligne c’est à peu près la rocade. Donc Chenôve est concerné, Longvic sera très fortement concerné., et nous on a un petit bout. Effectivement le jour où il y aura des travaux… mais on ne peut les faire sans notre accord.


Si vous avez vu le plan en commission travaux ici il y aura un rond-point qui sera après celui du Rocher. Comme celui du Rocher doit se faire depuis 20 ans, celui-ci sera dans 30 et si vous regardez on a fait en sorte que le jour où il y aura un rond point on ne paiera rien.


A un moment donné soit on négocie maintenant et on touche 28 000 euros et avec la décentralisation et tout ce qui va se passer dans les 10 ans à venir, on va tout récupérer sauf les transversales.


On n’a pas récupéré Corcelles Perrigny, on aurait pu. On aurait bien repris les lacets et là on aurait pu c’est tout neuf on aurait fait de l’argent. Les travaux sont faits pour 50 ans. Mais c’est toujours de la compétence du département. Nous on n’a qu’un petit bout et je vous propose, parce que c’est une politique d’agglo c’est Chenôve, Longvic, Perrigny… peut-être que dans quelque temps ces compétences seront reprises par le grand Dijon.


Monsieur Viennet : J’aimerais connaître l’urgence de ce dossier. Quel intérêt on a à statuer aujourd’hui là-dessus.


Monsieur le maire : L’intérêt, nous on va statuer, toutes les communes vont statuer pour que le Département puisse mettre en place son contrat Dijon-Côte d’Or avec le Grand Dijon. Il faut le faire avant la fin de l’année. Ce n’est pas urgent. Vous savez peut-être que dans quelques années il n’y aura plus de goudron, il y aura plus rien, ce ne sera plus que des voies uniques, il y aura peut-être le tram et ce sera de compétence communautaire c’est le Grand Dijon qui paiera….

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 08:54

vignes2

 

Question n° 1


Où en est le projet de marché d’études d’œuvre pour la restructuration de la mairie ?


Question n° 2


Un habitant de Marsannay s’étonne que la rue DARDELIN, qui est une voie privée, ait été rénovée avec l’argent de la municipalité c’est à dire de l’argent public.  Cette rue, qui n’est pas classée dans le domaine public comme tant d’autres situées dans les trois quartiers de Marsannay,  sert au passage de tous les usagers.

 

Les termes de la loi Grenelle 2 du 12 juillet 2010, validé par une décision du 6 octobre 2010 du Conseil Constitutionnel, dispose que "la propriété des voies privées ouvertes à la circulation publique dans des ensembles d'habitations peut, après enquête publique, être transférée d'office sans indemnité dans le domaine public de la commune sur le territoire de laquelle ces voies sont situées (…) ".

 

Comptez-vous régulariser rapidement, par une seule procédure, le classement de voies qui sont utilisées journellement par les habitants de la commune, comme par exemple la rue des Géraniums, la rue du Puits de Têt et l’ensemble des rues de Cap Sud ?

 

Question n° 3


Suite aux incidents qui ont eu lieu ces derniers temps (essai d’enflammer les poubelles de Bachelard, incidents assez graves rue Alosyus Bertrand…) ne serait-il pas possible d’augmenter les moyens des éducateurs de rue, qui font, auprès de nos jeunes un travail remarquable ?

Je vous demande d’ores et déjà de ne pas vous réfugier derrière les conseils donnés habituellement, soit l’implication  des riverains dans cette démarche.

 

Question n° 4


De nouveaux permis de construire ont été accordé, rue de la Maladière. Les nouveaux logements privés, rue des Vignes, rue du Rocher, sont terminés ou presque terminés. Le permis de construire du lotissement Erhet ou Roupnel sera bientôt accordé après les deux mois légaux d’affichage. Les logements Hugo sont en phase de finition.

 

Pouvez-vous : 

           

 - Faire le point sur le nombre de logements existants à Marsannay, par catégorie :  accession à la propriété, locatifs privés, locatifs répondant à la loi SRU.

- Donner le nombre définitif de logements qui seront construits rue Eiffel.

- Donner le nombre de logements HLM par bailleur social.

 

Question n° 5


Avez-vous prévu de faire un bilan de l’action des ambassadeurs de quartier ?

 

Question n° 6


Conformément à votre programme de campagne électorale, vous aviez organisé, en 2009, des réunions pour les jeunes de 14/17 ans et de 18/25 ans afin de leur demander quels seraient leurs souhaits,  leurs besoins, leurs suggestions.

 

Il est vrai que, malgré des invitations personnelles, la participation à ces rencontres a été très faible. Où en est-on aujourd’hui ? Souhaitez-vous renouveler cette expérience ?

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 09:52

 

 

moutons2

 

Conseil Municipal du 13 septembre 2010 :

  Communication de Monsieur le maire 

 

"A notre demande, Monsieur le Préfet a accepté la création de 5 bureaux de vote sur notre commune au lieu de 6. L’arrêté préfectoral porte le N° 401 et est en date du 27 août 2010.

 

Les cinq bureaux retenus sont les suivants :

 

-   Maison de Marsannay   - Bar

-   Maison de Marsannay – Salle Jean Pathie

-   Le Centre Social Bachelard

-   Groupe Scolaire Colnet

-   Salle Communale du Rocher

 

Cette réorganisation va permettre un meilleur équilibrage des bureaux de vote, la non utilisation du ou des groupes scolaires de la Champagne-Haute.

 

Cet arrêté est applicable pour la période du 1er mars 2011 au 28 février 2012."

 

 

Ah bon ? Qui avait demandé ce changement ? Qui a été consulté ?

 

La non-utilisation du ou des groupes scolaires de la Champagne-Haute semble être un alibi. En effet, dès l'an prochain, Langevin ne sera plus un groupe scolaire, mais un bâtiment municipal comme les autres.... Et on va bien continuer à utiliser le groupe scolaire du bourg !!!

 

N'y-a-t-il donc pas assez de conseillers municipaux volontaires et de citoyens concernés qui acceptent de tenir les 6 bureaux de vote de la commune pour que l'on se sente obligé d'en supprimer un ??

 

Voici donc, que, pour une raison inconnue, et sans aucune concertation, les habitants de Marsannay, tels les moutons du troupeau, seront canalisés, de façon arbitraire, vers d'autres lieux de vote...


Vous me direz : c'est pareil pourvu qu'on puisse voter ! mais pour les prsonnes âgées, ce n'est pas toujours pareil ...


N'oublions pas que près de 12 % des citoyens de la commune a plus de 75 ans, et du mal pour se déplacer...

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Un écrivain, une phrase...

"La démocratie, ce n'est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité" Albert Camus

"Toute opinion est indifférente aux ambitieux, pourvu qu’ils gouvernent."
  Bernardin de Saint Pierre 1737-1814 

"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."
Etienne de La Boétie 1530 - 1563

"Si je diffère de toi, loin de te léser, je t'augmente."
Antoine de Saint Exupéry